bien arrosé par pluies de printempstempérée par l’air chaud d’avril, la dehesa est l’écrin du paysage sonore printanier. Et, comme tout concert, on peut aussi divisez-le en sections.
Du sol émergent les stridences des orthoptères, grillons et sauterellesmêlé au bourdonnement des abeilles -de plus en plus rare-, et aux voix sifflées des Alouettes, Caille et autres oiseaux rampants.
Des troncs nous recevons les tweets de sittellesle sifflement des rampants, le battement, ciselé, des Pivert. Toute une communauté accrochée, clous et pics, aux irrégularités des troncs.
Dans la cime des arbres, à l’ombre, éclatent les chants des pinsons communs, le chant rythmé des gros seinsla berceuse en bois du pigeons ramiers. Au-dessus, dans le ciel, le doux sifflement des totovías, alouettes forestières, est en désaccord avec les cris stridents des martinets qui déchirent la toile bleue.
Et partout, des quatre coins de cette forêt défrichée, le Appel morse des huppes -deux points, tiret, trois points, tiret…- transmet, avec un une continuité à la limite de l’ennuil’histoire de la prairie.
bien arrosé par pluies de printempstempérée par l’air chaud d’avril, la dehesa est l’écrin du paysage sonore printanier. Et, comme tout concert, on peut aussi divisez-le en sections.