Avant de choisir vos plantes, pensez à l’eau d’irrigation dont vous aurez besoin

L’idée que grâce au passage des derniers orages nous avons des réservoirs pleins est complètement faux. La vérité est que, malgré le fait que les pluies de ces derniers mois ont été généreuses et bien réparties, nous avons les réserves de marais plus de dix points en dessous de l’an dernier à ces mêmes dates, et vingt points de moins que ce qui marque la moyenne dans la dernière décennie.

Les raisons pour lesquelles cela Trésor bleu s’est estompé sont dans le spéculation énergétique. Les grandes compagnies d’électricité continuent de faire passer leur désir de profit avant la gestion responsable de ces réserves, les réserves de chacunet étant donné le manque d’autorité du responsable des bassins, c’est-à-dire du gouvernement central, ils continuent à faire du cash sans se soucier de ce qui nous attend. Et de cette façon, nous sommes à nouveau comme l’année dernière, encore pire.

Pour toutes ces raisons, il faut persévérer dans l’économie d’eau et profiter de toute opportunité pour éviter le gaspillage. Surtout maintenant, alors que nous sommes confrontés au début d’une nouvelle période estivale qui, compte tenu de l’évolution du changement climatique vers les pires modèles de prévision, menace d’être de plus en plus plus chaud et plus sec.

Nous sommes en pleine saison rénovation d’usine sur terrasses et balcons. Une activité très reconnaissante qui verdit les rues, renouvelle les environnements et favorise la biodiversité urbaine. Mais avant de vous rendre chez le fleuriste ou le centre de jardinage de votre quartier pour choisir vos plantes, c’est une bonne idée de s’occuper de quelques conseils de jardinage durable

La culture des plantes aromatiques favorise la biodiversité (EFE/Mariscal)

Pétunias, lys, jonquilles, joys, pensées, dahlias, vincas… triomphe des fleurs de saison chez les consommateurs qui font passer la couleur et la beauté des formes avant leur caractère éphémère. Cependant, il existe d’autres options pour choisir nos plantes, sans renoncer à l’esthétique, qui est beaucoup plus durable et durable.

Le jardinage durable fonctionne avec un vaste catalogue d’espèces locales, beaucoup mieux adaptées à notre climat et avec une plus grande capacité à résister aux altérations dues au changement climatique. Ces variétés ne demandent pas apports extraordinaires d’eau lorsque les températures montent en flèche et que les précipitations disparaissent. De cette manière il réduire les coûts d’entretien de nos plates-bandes (en période de pénurie, le débit d’eau peut subir des augmentations notables) et les possibilités de survie des plantes.

Pour les arroser moins et les faire vivre plus longtemps, mieux vaut opter pour les différents types d’aromates, qui ont aussi de nombreux usages dans la maison.

L’alternative consiste à cultiver des variétés indigènes, avec une plus grande persistance que les fleurs saisonnières typiques et une consommation d’eau beaucoup plus faible. Il s’agit de transférer dans nos pots les espèces qui attirent notre attention lorsque nous profitons de la promenades à la campagnetant pour leur beauté que pour l’arôme agréable qu’elles dégagent, et parmi lesquelles se distinguent certaines des plantes aromatiques le plus représentatif de la flore ibériquecomme le romarin, le thym et la lavande.

espace réservé Certaines variétés de fleurs nécessitent un arrosage abondant.  EFE/maréchal

De cette manière nous pourrons reproduire sur la terrasse de n’importe quel bâtiment un morceau de terrain. Avec cela, nous pourrons nous connecter avec l’environnement et profiter des multiples utilisations et applications que celles-ci et le reste des espèces aromatiques nous offrent : Maria Luisa, sauge, origan, laurier, sarriette, menthe et menthe verte, basilic, aneth, anis, coriandre, persil. La liste des variétés est aussi longue que variée.

Dans les librairies spécialisées, il existe de nombreux manuels de jardinage durable pour les amateurs qui facilitent leur culture en potmais en tout cas je me permets de vous recommander de commencer par celles que nous avons indiquées au début et qui sont très facile à identifier:

ROMARIN (Rosmarinus officinalis)

Cet arbuste persistant et ligneux, qui peut devenir très haut, dégage l’arôme classique de la Méditerranée. Les feuilles ressemblent à des aiguilles de pin, bien que plus courtes et plus dures : vertes sur la face supérieure et blanches sur la face inférieure. Les fleurs poussent toute l’année attachées aux branches et entre les feuilles. Ils sont bleu clair ou rose. Il s’adapte très bien à la culture en pot. Dans la nature, il préfère les terrains calcaires, étant très commun des forêts des plateaux à celles qui surplombent la mer.

espace réservé Le romarin s'adapte très bien au pot (Jose Luis Gallego)

THYM (Thymus vulgaris)

Plante rampante qui apparaît généralement enchevêtrée dans les broussailles des sous-bois. Très commun dans tous les types d’habitats ibériques: des rives des forêts de pins aux pentes ensoleillées des terrains argileux ou aux zones pierreuses des landes. Très ramifié et effiloché, il forme des tiges étroites et flexibles de couleur jaunâtre qui deviennent ligneuses en vieillissant. De minuscules feuilles vertes intenses qui dégagent leur parfum incomparable au toucher, très parfumé et de longue durée. Fleur rose ou violette, en grappe, très délicate. Il résiste bien à la chaleur intense et au manque de pluie.

LAVANDE (Lavandula spica)

Cette lavande forme un petit buisson aux nombreuses ramifications, aux feuilles lancéolées d’environ quatre centimètres et de couleur verdâtre qui deviennent blanchâtres lorsqu’elles poussent. Les épis sont peints de fleurs violettes, restant sur des tiges nues lorsqu’elles sèchent. Il pousse dans des sols rocheux, secs et bien ensoleillés, c’est pourquoi il est très abondant sur les plateaux centraux de la Péninsule. Parfaitement adaptée à notre climat, elle ne nécessite pas d’attention particulière et peut vaincre même les sécheresses les plus sévères.

L’idée que grâce au passage des derniers orages nous avons des réservoirs pleins est complètement faux. La vérité est que, malgré le fait que les pluies de ces derniers mois ont été généreuses et bien réparties, nous avons les réserves de marais plus de dix points en dessous de l’an dernier à ces mêmes dates, et vingt points de moins que ce qui marque la moyenne dans la dernière décennie.