Ils suppriment 30 kilomètres de pêche à la palangre et relâchent 12 espèces marines dans l’Atlantique

Des militants de Greenpeace à bord du lever du soleil arctique se sont retirés 30 kilomètres de pêche à la palangre dans l’Atlantique Nord et ont relâché 12 espèces marinesqui ont été remis à l’eau en toute sécurité.

les militants enlevé 30,2 kilomètres de palangre, seulement 2,5 pour cent de la longueur totale de 1 200 kilomètres, dont 286 hameçons. De plus, ils ont relâché un total de 7 espadons ; 1 requin peau bleue, une espèce classée « quasi menacée » sur le Liste rouge des espèces menacées; 1 dorade royale ; 1 barracuda et 2 lances à long nez.

Si un accord « solide » n’est pas trouvé, il sera presque impossible de respecter le « 30×30 », c’est-à-dire de protéger 30% des océans d’ici 2030

Le responsable de la campagne Greenpeace Espagne Océans, Maria José Caballero, déclare que les palangres retrouvées montrent « les horreurs de la pêche industrielle ». Il souligne également que « l’Espagne est le leader mondial du commerce de la viande de requin » et que le des zones protégées comme celles-ci sont un exemple du « statu quo rompu », puisque les espèces de manière théorique mais pas au large.

Nous sommes loin de notre objectif de protéger 30 % des zones marines.  (Stock)

Pour cette raison, Greenpeace demande aux dirigeants politiques des Nations unies d’adopter en août un traité mondial sur les océans incluant la réglementation de la pêche dans les eaux internationales. L’ONG assure que si elle ne parvient pas à un accord « solide » il sera quasiment impossible de respecter le ’30×30′, c’est-à-dire, protéger 30% des océans d’ici 2030une extension que les scientifiques considèrent comme le minimum requis pour que les océans aient la capacité de se reconstituer.

Ainsi, selon l’entité, la pêche industrielle dans l’Aire Marine Protégée, dans Complexe du mont sous-marin de Milnesouligne les défis pour protéger adéquatement ce type de zone dans les eaux internationales, puisque la pêche à la palangre, qui consiste en une palangre à laquelle d’autres pendent avec des hameçons, est légale dans l’Atlantique Nord, mais toute pêche industrielle a un impact sur l’ensemble de l’écosystème.

Ainsi, Greenpeace assure que ce manque de protection contre la pêche à la palangre est un autre exemple de la raison pour laquelle un Un traité mondial solide sur les océans protéger de manière adéquate les zones de haute mer de la pêche industrielle.

Pour Caballero, c’est de l' »hypocrisie » que « l’UE et ses États membres disent qu’ils sont les champions de la protection des océanstandis que leurs flottes de pêche causent des dommages environnementaux en mer ».

Des militants de Greenpeace à bord du lever du soleil arctique se sont retirés 30 kilomètres de pêche à la palangre dans l’Atlantique Nord et ont relâché 12 espèces marinesqui ont été remis à l’eau en toute sécurité.