l’espace méditerranéen chaque année perd environ 0,5 tonne de sol fertile par hectare en raison de l’érosion des sols, près du double de la moyenne européenne, selon une étude dans laquelle le Université de Valence (UV).
Le projet « Inclusive Expansion of Mediterranean Agroecosystem Restoration Actions », rendu public ce mercredi, souligne que les ressources en eau de la région sont sous pression constante en raison d’événements météorologiques intenses et de causes anthropiques telles que le changement climatique, l’urbanisation, la croissance démographique et surexploitation des ressources.
L’objectif de ce projet est de restaurer les écosystèmes agricoles méditerranéens et de prévenir la dégradation des sols et la désertification
Ces faits exercent une pression sur les sols vers la dégradation et la désertification, comme le rapporte l’UV, qui participe au projet européen « Horizon 2020 PRIMA REACT4MED » près de onze partenaires de neuf pays Européens.
L’objectif de ce projet est de restaurer Écosystèmes agraires méditerranéens et éviter la dégradation des sols et la désertification, deux des plus grands risques pour la conservation des écosystèmes et les moyens de subsistance des communautés méditerranéennes.
Le professeur de géographie physique à l’UV et expert en érosion, Artémi Cerda, dirige la partie espagnole du projet, avec une proposition dans le bassin fluvial Rivière Canyolesqui est basé sur une recouvert d’engrais verts et de restes de taille qui sera traité comme une alternative à l’érosion dans les environs du fleuve principal de la région valencienne de La Costera.
l’espace méditerranéen chaque année perd environ 0,5 tonne de sol fertile par hectare en raison de l’érosion des sols, près du double de la moyenne européenne, selon une étude dans laquelle le Université de Valence (UV).