Écologistes en action Oui WWF ont positivement apprécié l’approbation de la ‘Stratégie de conservation et de gestion du loup (Canis lupus) et sa coexistence avec les activités du milieu rural », dans le Conférence sectorielle environnement ce jeudi, bien qu’ils aient déploré que le document présente des « limites importantes » en plus d’être en désaccord sur la nécessité de procéder à des extractions de loups.
C’est la position d’Ecologistas en Acción, qui considère que la réglementation de l’extraction sélective de spécimens, contrairement aux contrôles autorisés jusqu’à présent, n’est plus basée sur le contrôle des populations ni ne permet la approbation des quotas de loups à tuerce qui signifie « un avancée importante et un changement considérable dans la gestion de l’espèce« .
Les ONG affirment que l’une des lacunes est le manque de précision dans la façon de dépenser les 20 millions d’euros
Pour l’ONG, il s’agit d’un aspect « totalement inutile », qui peut conduire certaines Communautés autonomes à baser toute la gestion des loups sur ces exceptions. Pour lui, ils rejettent toute extraction de loups à l’état sauvage et mentionnez que la science a montré que tuer des loups diviser les troupeaux et il ne réduit pas les attaques contre le bétail, il les aggrave même.
A son avis, la conservation du loup »devrait être au-dessus des intérêts partisans et qu’il devrait y avoir une plus grande harmonie entre les différentes administrations », tout en énumérant quelques-unes des priorités : parvenir à un état de conservation favorable de la population ibérique, l’expansion vers l’est péninsulaire de sa zone de distribution et coexistence avec le bétail.
De son côté, pour le WWF, la stratégie établit « un cadre minimal qui, pour la première fois, donne la priorité à la prévention des dommages au bétail contre l’élimination des loups, qui passera de la règle générale à n’être réalisée qu’exceptionnellement et toujours dans le respect de la réglementation européenne ». En outre, il souligne qu’il établit des critères pour la répartition du fonds de 20 millions d’euros prévu pour par le Ministère de la transition écologique pour les paiements compensatoires et les mesures de prévention pour l’élevage extensif.
À ce stade, cependant, il considère que l’une des lacunes est la manque de précision sur la façon de dépenser les 20 millions d’euros et comment garantir que les communautés autonomes favoriser réellement l’application des mesures de prévention. L’ONG estime que la stratégie devrait exiger le CC. AA. Comme condition de disponibilité de ces fonds, l’élaboration de plans régionaux ou départementaux de prévention des dommages, axés sur les zones les plus conflictuelles et les plus endommagées, et comprenant une analyse de la typologie des les élevages de la zone et leur gestionentre autres problèmes.
Ainsi, il considère que le document est un « pas en avant » qui assimile l’Espagne à d’autres pays européens, même s’il estime qu’il est « améliorable, puisque devrait avoir des objectifs mesurablesgarantir une plus grande participation de la société civile à la gestion de l’espèce et exiger l’élaboration de plans mesurables de réduction des dommages au niveau régional ou départemental et le protocole d’extraction d’individus lorsqu’il est absolument indispensable devrait être plus détaillé ».
En outre, il appelle les Communautés autonomes à « s’adapter à cette nouvelle réalité en assumant la protection du loup et tester des plans régionaux de coexistence », déplorant que certains s’y opposent « pour des raisons politiques ».
Écologistes en action Oui WWF ont positivement apprécié l’approbation de la ‘Stratégie de conservation et de gestion du loup (Canis lupus) et sa coexistence avec les activités du milieu rural », dans le Conférence sectorielle environnement ce jeudi, bien qu’ils aient déploré que le document présente des « limites importantes » en plus d’être en désaccord sur la nécessité de procéder à des extractions de loups.