Le COAG revendique le rôle des bergers dans la prévention des incendies

Coïncidant avec le vague de chaleur en Espagne et le risque élevé d’incendies de forêt, Coordonnateur des organisations d’agriculteurs et d’éleveurs (COAG) veut revendiquer l’important travail de l’élevage extensif pour la prévention des incendies en milieu rural. « Parier sur la consommation de viande et de lait d’élevage extensif permet de prévenir les incendies », il est dit saints anges, un élevage extensif et responsable Commission exécutive du COAG.

Dans les endroits où le pâturage rack les huttes des moutons et des chèvresune coutume aussi traditionnelle que répandue dans notre zone rurale, la biomasse végétale est nettoyée ce qui, s’il n’est pas fait, avec l’arrivée de la saison sèche devient une couche de combustible prêt à brûler et finissent par dévorer des milliers d’hectares de montagnes et de forêts et de détruire la riche nature qu’ils abritent. Les chèvres adultes sont nourries 1,5 à 2,5 kg par jour d’herbe sèche (entre 350 et 1500 g de feuilles et pousses d’arbustes), alors que les brebis adultes en pâturage peuvent consommer 2 à 3 kg de matière sèche par jour (espèces arbustives et ligneuses).

Un berger avec son troupeau à Aras de los Olmos, Valence (EFE/M.Bruque)

travail de pâturage ils transforment les éleveurs en gardes permanentss, tout en aidant à nettoyer le support de matériaux combustibles, en particulier dans les zones difficiles d’accès. De même, l’action du bétail contrôlé par les bergers maintient également zones de pare-feuprovoquant des discontinuités dans les masses forestières qui prévenir la propagation des incendies. « Grâce au bétail, les incendies ne sont pas seulement prévenus, mais lorsqu’ils se produisent, ils sont plus petits et plus faciles à contrôler. Si ces zones sont gérées, les manœuvres d’extinction peuvent être effectuées de manière plus sûre», a précisé Santos.

En outre, la présence du bétail en montagne présente de nombreux avantages environnementauxpuisqu’il favorise la biodiversité, contribue à la dispersion des graines, améliore la structure du sol et réduit l’érosion et la désertification. Tout cela, sans oublier sa contribution à la développement rural durable et la fixation de la population dans les zones rurales. Et pas seulement cela, le action de débroussailleuse de l’élevage ovin et caprin permet de transformer une ressource forestière autrement menacée par les incendies qui contribue au changement climatique en une viande de qualité, riche et savoureuse.

Pour le responsable du COAG « le pâturage des moutons et des chèvres n’est pas que c’est le meilleur moyen de prévenir les incendies, c’est que est le plus durable. Le gouvernement et les communautés autonomes ne peuvent pas réduire la gestion des incendies à une stratégie réactive, circonscrite aux mois d’été et pour éteindre les incendies qui se déclarent ».

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Chèvres défrichant la brousse à Gran Canaria (EFE/E.Urquijo)

Du coordinateur agraire le plus important de notre pays, ils regrettent que cet important service ne soit pas reconnu à juste titreils demandent donc qu’il soit valorisé auprès de l’administration et méritent plus de reconnaissance sociale « Nous avons besoin d’un soutien décisif pour l’élevage et le pâturage extensifs, pour les soi-disant ‘moutons-pompiers’un corps d’élite rurale avec 15 millions de soldats », soulignent-ils.

Coïncidant avec le vague de chaleur en Espagne et le risque élevé d’incendies de forêt, Coordonnateur des organisations d’agriculteurs et d’éleveurs (COAG) veut réclamer l’important travail de l’élevage extensif pour la prévention des incendies en milieu rural. « Parier sur la consommation de viande et de lait d’élevage extensif permet de prévenir les incendies », il est dit saints anges, un élevage extensif et responsable Commission exécutive du COAG.