Parmi les endroits de la planète qui me passionnent le plus, je mets en avant le désert du kalahari. Il est situé en Afrique australe, entre Botswana, Namibie et Afrique du Sudet voici la chronique photographique de mon périple dans sa grande région désertique : entre la réserve centrale du Kalahari et la Parc national de Kgalagadi.
Parmi les espèces qui habitent le Kalahari, je suis particulièrement frappé par la oryx du cap (‘Oryx gazella’), l’une des plus grandes antilopes du monde. Les mâles dépassent 250 kilos de poids et ses cornes atteignent près d’un mètre de long. Ils vivent généralement en troupeaux qui varient de 20 à 40 personnes selon les possibilités alimentaires de la région. Ils peuvent passer des semaines sans boire d’eau et ils l’extraient de l’herbe, des pousses et des fruits dont ils se nourrissent.
Je me réveille dans la tente en un froid matin d’hiver dans le désert du Kalahari au Botswana. Les dunes rougeâtres contrastent avec le bleu intense du ciel. Pas un seul nuage. En hiver, à cet endroit les nuits et les matinées sont très froides, contrairement au reste de la journée, c’est pourquoi nos duvets sont épais. Quoi les lézards qui se prélassent sous ces latitudesj’attends que les premiers rayons de soleil réchauffent un peu mon corps.
Dans ce désert, la pluie est rare et il y a très peu d’arbres. Le ciel est généralement sans nuages et d’un bleu profond, surtout pendant la saison sèche. Cela permet de regarder l’horizon et de découvrir l’image idyllique de carte postale à laquelle l’Afrique est habituellement associée. Le Kalahari se distingue dans certaines de ses enclaves par quelques dunes rougeâtres. La végétation est très rare : juste quelques buissons et quelques acacias nains.
En saison sèche, gazelles sauteuses, gnous et oryx du cap ils se rassemblent par centaines autour des points d’eau. Il n’y a pas de rivières ici. Les petits puits créés lors des dernières pluies sont l’endroit le plus fréquenté du désert, et à la fois herbivores et prédateurs ils y vont.
En plus d’être l’un des plus grands, le cap Oryx compte parmi les plus belles antilopes existantes. Son corps athlétique se distingue à des kilomètres de distance. Ses longues cornes pointues étaient autrefois vendues en Europe sous le nom de cornes de licorne. Ces antilopes sont l’une des proies habituelles des les lions qui parcourent la région.
Par un après-midi particulièrement chaud et sans vent, j’entends au loin le cri aigu d’un aigle martial. Quand je vais lever les yeux pour le voir, je vois un oryx marchant lentement vers un bassin d’eau. Remarqué un groupe de lions qui reposent paresseusement au sommet d’une petite dune. j’en vois un aussi outarde kori marchant parmi le paysage désertique. UN le faucon pèlerin il mange les restes d’une tortue du Cap qu’il a chassée près de la mare. Des scènes animalières qui font l’essence de ce grand désert africain : Kalahari 100 %.
Parmi les endroits de la planète qui me passionnent le plus, je mets en avant le désert du kalahari. Il est situé en Afrique australe, entre Botswana, Namibie et Afrique du Sudet voici la chronique photographique de mon périple dans sa grande région désertique : entre la réserve centrale du Kalahari et la Parc national de Kgalagadi.