L’évaluation de pertes économiques liés à la crise climatique continue de focaliser l’attention des grandes compagnies de réassurance. L’an dernier, des catastrophes naturelles ont causé quelques pertes économiques de 270 000 millions de dollars dans le monde entier et des pertes assurées de 111 000 millions. Avec ces chiffres convaincants commence la Rapport Sigma 2021 entraîné par le Institut Swiss Re. L’objectif principal de ce travail est d’évaluer les coûts économiques des phénomènes naturels extrêmes sur la base données enregistrées et rigoureusement contrastées.
Comme le souligne la nouvelle étude, bien que les ouragan ida a été la catastrophe naturelle la plus coûteuse de toute l’année 2021, les risques dits « secondaires » ont représenté une fois de plus l’essentiel des pertes assurées dues à ce type de sinistre. Ainsi, les graves inondations de juillet en Europe centrale, par exemple, directement lié au changement climatique par le gouvernement allemand lui-même, ont été la catastrophe naturelle la plus coûteuse du continent.
Selon Martin Bertogdirecteur des risques catastrophiques de Swiss Rel’un des plus grands réassureurs mondiaux, « les inondations affectent déjà presque un tiers de la population mondialeplus que tout autre risque. Seulement en 2021, nous avons assisté plus de 50 inondations majeures mondial »https://www.elconfidencial.com/medioambiente/empresa/2022-04-01/aumentan-costes-inundaciones-change-climatico_3400267/. »Compte tenu de la l’ampleur de la dévastationle risque d’inondation mérite déjà la même attention que nous portons aux ouragans », assure cet expert.
Pour le Swiss Re Institute, le changement climatique est aussi l’un des plus grandes menaces pour l’économie mondialecar il provoque une augmentation notable à la fois en gravité et en récidive d’événements météorologiques extrêmes. L’augmentation de la population directement menacée, la mauvaise planification urbaine et la tendance à concentrer l’activité productive dans les zones exposées aux catastrophes naturelles multiplient les coûts économiques associés au réchauffement climatique. Une tendance qui ça s’accélère encore cette année.
Selon cette nouvelle édition, les sinistres assurés continuent d’augmenter en moyenne de 5 à 7 % par an dans le monde
Après une année de grandes catastrophes naturelles telles que 2021, y compris les inondations dévastatrices en Europe, en Chine, aux États-Unis et dans d’autres parties du monde, le premier trimestre 2022qui a commencé par de graves inondations dans l’est de l’Australie, continue d’ajouter De lourdes pertes.
« Il est urgent d’agir pour accroître la résilience des sociétés Dans le monde entier. En collaboration avec le secteur public, les réassureurs doivent allouer des ressources pour prévenir les dommages dans les zones à haut risque, en investissant dans des mesures de protection telles que infrastructures vertes. De cette façon, nous pourrons maintenir les actifs assurables et améliorer les perspectives de croissance », déclare Jérôme Jean Haegeliéconomiste en chef du groupe d’assurance.
Les archives du nouveau rapport Sigma montrent qu’au-delà des dommages causés par ouragans, typhons ou cyclones (rappelez-vous qu’ils se réfèrent tous au même phénomène dans différentes parties de la planète), le inondations sont, de loin, les adversités qui sont les augmentant davantage à mesure que le changement climatique se dirige vers les pires scénarios.
Les données analysées dans le rapport confirment qu’au cours de la dernière décennie, il y a eu encore trois fois épisodes d’inondations graves que les cyclones. Les inondations ont également causé plus d’un tiers des décès associés à ce genre de tragédies. De même, les pertes économiques causées par les inondations sont celles qui augmentent le plus, au point qu’elles représentent actuellement 23 % du coût total des dommages causés par des phénomènes météorologiques extrêmes : des dommages qui se propagent sur toute la planète et affectent de plus en plus à plus de pays.
Le rapport note également qu’au cours de la dernière décennie seulement 5% des inondations majeures ils étaient assurés dans les marchés émergents, tandis que dans les économies avancées comme l’UE, la couverture a été étendue à 34 %. C’est toujours en Asie du Sud-Est, l’une des régions les plus vulnérables à la hausse des températures et où seulement 7% des pertes économiques sont couverts par une assurance.
Vous pouvez consulter l’infographie de l’étude avec le principales zones de la planète touchées par les inondations ici.
L’évaluation de pertes économiques liés à la crise climatique continue de focaliser l’attention des grandes compagnies de réassurance. L’an dernier, des catastrophes naturelles ont causé quelques pertes économiques de 270 000 millions de dollars dans le monde entier et des pertes assurées de 111 000 millions. Avec ces chiffres convaincants commence la Rapport Sigma 2021 entraîné par le Institut Swiss Re. L’objectif principal de ce travail est d’évaluer les coûts économiques des phénomènes naturels extrêmes sur la base données enregistrées et rigoureusement contrastées.