Les directeurs du développement durable gagnent en capacité d’influencer les entreprises

Il n’y a pas de marche arrière. Ce n’est pas que de plus en plus d’entreprises adoptent la durabilitéle respect de l’environnement et action climatique comme leurs propres valeurs, mais ceux qui s’obstinent à les ignorer sont chaque jour de moins en moins nombreux et deviennent de plus en plus seuls, risquant disparaître des marchés. Car ceux qui ont déjà assumé ces valeurs sont consommateurs et investisseurs.

Jamais auparavant une voie de progrès aussi nette que celle du développement durable n’avait été identifiée. Le respect de l’environnement a cessé d’être une tendance pour devenir la nouvelle norme. La clé maintenant n’est pas tant de grandir que de le faire de manière dissociée épuisement des ressources naturellesà la production de déchets ou au niveau des émissions, en grandir « avec » la planète et non à ses dépens.

conscient de ça nouvelle réalitéles grandes entreprises ont intégré la figure du directeur du développement durable Soit Directeur du développement durable (CSO) à leurs équipes dirigeantes. Une tendance qui s’est propagée à l’ensemble de l’écosystème jusqu’à présent aussi aux PME. Personne dans son bon sens des affaires ne peut se passer d’un gestionnaire qui assurer la pérennité de l’entreprise et somme l’entreprise d’assumer cette norme, entre autres parce que de plus en plus de travailleurs l’exigent.

Dans le cas des grandes entreprises, intégrée au comité de directionla figure du CSO a un rôle exécutif de caractère transversal pour, en collaboration avec tous les départements et avec l’approbation directe du PDG, promouvoir toutes les actions en faveur de l’environnement et contre le changement climatique qui peuvent être menées à partir de chacune des zones de développement de l’entreprise. Des compétences qui ne cessent d’augmenter au fur et à mesure sensibilisation citoyenne envers l’environnement et l’intérêt des grands investisseurs.

La planète d'abord, avant les affaires.  (Paix verte)

Parmi de nombreuses autres fonctions figurent celles de présider les réunions du comité de durabilité(organe essentiel pour progresser en termes réels en responsabilité environnementale) pour les transférer obligatoire au comité de pilotage. promouvoir la philosophie de le respect de l’environnement et l’engagement pour la planète à tous les niveaux de l’organigramme de l’entreprise : du dernier employé aux plus hauts dirigeants.

Encourager la participation et l’engagement de tous les secteurs à l’objectif commun de durabilité. Créer, définir et mettre en œuvre dans l’entreprise une catalogue de bonnes pratiques environnementales progresser dans les différents domaines : de l’efficacité énergétique et l’autoconsommation à partir de sources renouvelables, à la réduction, la réutilisation et le recyclage des déchetsen passant par écoconceptionla mobilité durablela conservation de biodiversité ou la En économisant de l’eauentre autres.

Pour établir un processus d’examen interne (auto-évaluation) pour détecter les possibilités de amélioration de l’environnement dans chacun des départements et dans tous les processus, toujours en étroite collaboration avec leurs managers, consensuellement mais avec une vocation ferme et déterminée.

espace réservé Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies.

Aligner l’engagement et les intérêts de l’entreprise avec les Objectifs de développement durable (ODD), l’économie circulaire et l’action pour le climat, ainsi que la promotion d’alliances avec tous ceux qui les partagent. Une alliance qui doit reposer sur collaboration mutuellel’échange de connaissances et la somme supplémentaire des finalités. Le tout à partir d’un nouveau sens de la concurrence basé sur sauvegarder le bien commun qui représente la planète.

Il est possible que cela puisse sembler utopique et même chimérique à certains donner de l’importance à la direction de l’entreprise à une personnalité qui parraine et défend ces valeurs. Certaines valeurs traditionnellement liées à la philanthropie et qui, jusqu’à il y a quelques décennies seulement, étaient considérées contrairement à l’idée d’entreprise elle-même, qui, comme l’établit le dictionnaire lui-même, consiste en « ce qui est l’objet ou la matière d’une occupation lucrative ou d’un intérêt ». Cependant, de plus en plus d’entreprises de toutes tailles et de tous secteursqui ajoutent à leur intérêt pour la protection de l’environnement, en incorporant ladite figure dans le modèle.

La lutte contre le ‘greenwashing’ interne doit figurer parmi les principales tâches du directeur du développement durable

Selon un récent rapport de PwCles entreprises n’ont nommé que l’année dernière presque autant de directeurs du développement durabled comme au cours des huit années précédentes. En fait, entre 1 640 entreprises analysés par PwC, huit sur dix ont déjà intégré un CSO ou un poste similaire dans leur structure de direction. Et parmi les entreprises analysées pour préparer l’étude, ceux qui ont la note la plus élevée dans les des critères ESG incontournables (environnement, social et gouvernance, pour son sigle en anglais) étaient ceux qui avaient déjà ce profil dans leur équipe de direction.

Dans le même ordre d’idées, le rapport, L’avenir du Chief Sustainability Officerélaboré par Deloitte et le Institut de Finance Internationale (IIF)explore les raisons qui militent en faveur de la nomination d’un CSO par les entreprises et souligne les des attentes élevées qui génère la figure de ce manager dans le monde de l’entreprise dans le nouveau contexte économique et social. Un contexte dans lequel durabilité a cessé d’être un pansement pour devenir le ingrédient principal de toute idée d’entreprise.

Il n’y a pas de marche arrière. Ce n’est pas que de plus en plus d’entreprises adoptent la durabilitéle respect de l’environnement et action climatique comme leurs propres valeurs, mais ceux qui s’obstinent à les ignorer sont chaque jour de moins en moins nombreux et deviennent de plus en plus seuls, risquant disparaître des marchés. Car ceux qui ont déjà assumé ces valeurs sont consommateurs et investisseurs.