La ventgénérés par les différences de température dues au soleil, se propage inexorablement aux quatre coins du monde. Ainsi, l’énergie éolienne s’est d’abord propagée sur terre et est maintenant en mer. Ceci est démontré par les données recueillies dans le rapport annuel du Global Wind Energy Council (GWEC), puisque, au cours de l’année écoulée, 21,1 GW de éolien en mer Ils étaient connectés aux réseaux électriques des différents pays à l’échelle mondiale.
Un record qui triple la puissance installée en 2020. Ajouté aux éoliennes qui produisent déjà de l’électricité, au total le monde compte 56 GW, en supposant une croissance annuelle de 56 %. C’est le signal de départ qui marque le début d’une nouvelle ère vertigineuse pour l’éolien.
La mer de Chine déferle en 2021
Les côtes qui traversent le géant asiatique contribuent à 80 % du nombre total de nouvelles installations. Comme pour tant d’autres énergies renouvelables, la Chine est à l’avant-garde des nouvelles éoliennes offshore mises en service. C’est la quatrième année consécutive.
Mais non seulement la Chine, 779 MW de projets intertidaux ont été installés au Vietnam (near shore, nearshore) l’année dernière, devenant le troisième marché en 2021. Cependant, Taïwanmalgré son grand potentiel, n’a mis en service le projet de démonstration de 109 MW de Changhua qu’en raison de perturbations liées au COVID-19.
L’Europe, pionnière de l’éolien terrestre, ne veut pas être en reste. La Le Royaume-Uni a connu une année record en 2021 avec plus de 2,3 GW celle connectée au réseau. Cependant, il a cédé sa couronne de plus grand marché éolien au monde à la Chine. Le Danemark et les Pays-Bas suivent avec respectivement 605 MW et 392 MW installés. Dans le total cumulé, L’Europe reste le leader mondial avec 50,4 %. En dehors de l’Europe et de l’Asie, l’Amérique du Nord comptait 42 MW d’éolien offshore en exploitation à la fin de l’année dernière.
Un avenir prometteur
Les contraintes énergétiques actuellesdans un contexte de graves tensions et risques dans l’approvisionnement énergétique de certains pays, sont accélérer l’expansion de l’éolien offshore. Le vent est partout et le pétrole ne l’est pas, comme le reflète le GWEC dans son bilan annuel, et les nouvelles installations annuelles devraient croître à un rythme de 30 GW en 2027 et de 50 GW en 2030.
Grace à lui, Intelligence de marché GWEC s’attend à ce que plus de 315 GW de nouvelles capacités éoliennes offshore soient installées au cours de la prochaine décennie (2022-2031), atteignant 370 GW d’ici la fin de 2031. Malgré ce chiffre élevé, il reste insuffisant car rate l’objectif de 380 GW d’installations éoliennes offshore d’ici 2030 fixé par GWEC et IRENA dans son Pacte énergétique du ONU en 2021.
Selon Ben Backwell, PDG de GWEC, « L’industrie éolienne doit prendre sa place en tant que gardienne clé d’un écosystème océanique sain.e, puisqu’elle est devenue l’une des industries maritimes les plus importantes au monde. Il insiste également sur la biodiversité : « nous devons travailler avec les parties prenantes et les communautés autour de l’océan pour nous assurer que nous sommes habilités d’une manière qui assure une coopération et une planification holistiques et assure le plus haut niveau d’harmonie avec les objectifs de biodiversité et de conservation ».
Améliorer la réglementation et la chaîne de valeur
Cependant, il existe un écart entre les objectifs affichés et le rythme des installations annuelles. Permettre une accélération de l’éolien offshore nécessite des mesures pour activer les procédures des projets éoliens à court termedes politiques pour initier un cadre politique structurant à moyen terme et des engagements pouvant justifier des investissements soutenus dans la chaîne d’approvisionnement et les infrastructures qui la soutiennent.
Les gouvernements, l’industrie et les autres institutions doivent s’assurer, toujours avec la prémisse de maximiser la protection de l’environnement, les processus de planification sont simplifiés. Ainsi, il sera possible de garantir que les concessions des fonds marins sont accordées au bon rythme, efficacement, et que les systèmes d’enchères peuvent offrir des prix abordables qui lui permettent de concurrencer l’éolien terrestre et le photovoltaïque.
Ils soulignent également la création d’une chaîne d’approvisionnement mondiale qui fonctionne bien et qui est capable de se développer rapidement au cours de la prochaine décennie pour répondre à la croissance comme essentielle. Actuellement, la santé de la chaîne d’approvisionnement est menacée par les pressions inflationnistes des prix des produits de base, des matières premières et de la logistique, tout en subissant le « nivellement par le bas » des prix et une croissance inégale de la demande.
Ulrik Stridbæk, vice-président et directeur des affaires réglementaires chez Ørstedrappelle que « l’industrie mondiale de l’éolien offshore est en un tournant critique. D’une part, nous voyons les ambitions politiques augmenter de façon exponentielle, mais d’autre part, le secteur est confronté à une hausse des coûts et à des chaînes d’approvisionnement perturbées, mettant en péril sa capacité à long terme à atteindre ces objectifs.
La ventgénérés par les différences de température dues au soleil, se propage inexorablement aux quatre coins du monde. Ainsi, l’énergie éolienne s’est d’abord propagée sur terre et est maintenant en mer. Ceci est démontré par les données recueillies dans le rapport annuel du Global Wind Energy Council (GWEC), puisque, au cours de l’année écoulée, 21,1 GW de éolien en mer Ils étaient connectés aux réseaux électriques des différents pays à l’échelle mondiale.