Sauver les océans est essentiel pour protéger notre avenir

Sous la devise « Sauvez nos océans, protégez notre avenir », le Portugal accueille du 27 juin au 1er juillet le deuxième Conférence des Nations Unies sur les océans. L’événement rassemble grands leaders mondiauxles plus hauts représentants de entreprises et institutions et à la organisations de défense des océans à la recherche d’accords permettant de promouvoir une véritable culture océanique dans notre société, promouvoir l’économie bleue et souligner la relation étroite entre les mers et le changement climatique.

Malgré les avancées des dernières décennies, la grande majorité des océans restent non cartographiés, observés ou explorés

Et c’est qu’en plus d’être le principale source de vie sur la planète et représentent le le plus grand garde-manger de l’humanitél’océan stabilise le climat en fixant et en accumulant une partie des gaz à effet de serre (GES) que nous émettons dans l’atmosphère, y compris environ 23% du CO2 généré par les activités humainesagissant ainsi comme un gouffre gigantesque. Mais cette capacité d’absorption est préjudiciable à la biodiversité océaniquecar il donne lieu à diverses réactions chimiques qui acidifient l’eau de mer, mettant en danger des habitats aussi importants que colonies coralliennes.

L'acidification détruit la Grande Barrière de Corail (EFE Grumpy Turtle Films)

La jeunesse a aussi eu un rôle marquant lors de la précédente rencontre qui s’est déroulée du 24 au 26 juin et qui comprenait la participation de jeunes entrepreneurs qui cherchent des solutions innovantes aux problèmes les plus urgents auxquels sont confrontés les océans. De la capitale portugaise doit émerger propositions d’actions urgentes pour sauver les océans, éviter les pires modèles climatiques et protéger la vie sur la planète. Parmi les principaux défis figurent la lutte contre l’acidification, la prévention de la pollution plastique et son élimination, la fin de la pêche illégale et la récupération des habitats et de la biodiversité.

Pour le secrétaire général de l’ONU, Anthony Guterres« les océans ont un rôle fondamental dans notre vie quotidienne: ils sont les ‘poumons de notre planète’, la principale source de nourriture et de médicaments et le principal allié pour faire face à la crise climatique ».

Le Sommet de Lisbonne a été organisé conjointement par les gouvernements du Kenya et du Portugal dans le but de promouvoir et de promouvoir une série de solutions innovantes fondées sur la science commencer un nouvelle ère dans notre relation avec les océans. Une relation plus respectueuse basée sur une meilleure connaissance de son état de conservation, sur la régénération des écosystèmes marins et côtiers, la protection de la biodiversité et l’utilisation durable des ressources pour mettre fin à la pêche illégale et à la surpêche.

Selon les organisateurs, si nous voulons aborder certains des problèmes les plus importants de notre époque, comme le changement climatique, l’insécurité alimentairela maladies et pandémiesla perte de biodiversité, la Inégalité économique et même le conflits et querellesnous devons agir maintenant pour protéger l’état de nos océans, car comme indiqué peter thomsonenvoyé spécial de l’ONU pour les océans « Il n’y a pas de planète saine sans océan sain »

espace réservé Photo officielle du Sommet des Nations Unies sur les océans à Lisbonne (EFE/T.Petinga)

L’événement est aligné sur les objectifs proposés par l’ONU pour atteindre Objectif 14 des ODD: les 17 défis qui jalonnent le Programme de développement durable à l’horizon 2030. Dans ce cas, cet objectif souligne la nécessité de conserver et utiliser durablement les océansles mers et les ressources marines.

Il fait également partie du calendrier des événements liés à la Décennie des sciences océaniques pour le développement durable des Nations Unies (2021-2030), avec lesquelles l’ONU poursuit améliorer et accroître notre connaissance des océans et sa contribution à la durabilité, ce qui dépend en grande partie de notre capacité pour nos connaissances marines à travers des recherches et des observations permanentes qui ont des infrastructures et des investissements adéquats.

En tout état de cause, et dans l’attente des accords qui résulteront de la rencontre, l’ONU nous invite à mettre en place un plan d’action personnel apporter notre grain de sable à la conservation des océans :

Si vous mangez du poisson, diversifiez votre alimentation et ne mangez pas toujours la même espèceet. Évitez également de manger les grands prédateurs et assurez-vous que le poisson que vous mangez provient de sources responsables et d’une pêche durable.

Étant donné que 80% de la pollution marine est d’origine terrestre Nous devons tous faire notre part pour empêcher les déchets plastiques d’atteindre la mer. Cela peut aider éviter les produits jetablesréduisant le plastique superflu et assurant déposez vos déchets dans les conteneurs appropriés.

espace réservé Nous plastifions les mers (EFE/A.Espinosa)

Ne laissez pas de déchets sur la plage et ramassez-les lorsque vous les trouvez. Gardez à l’esprit que toute action que vous pouvez entreprendre individuellement pour réduire votre empreinte écologique Il contribuera indirectement à la conservation et à l’amélioration des océans.

Suivez revendiquer des solutions pour sauver les océans, à la fois dans la rue et en écrivant des lettres aux décideurs. En signant des pétitions ou en soutenant des campagnes visant à convaincre les responsables d’agir : soit localement, nationalement ou mondialement.

C’est lui programme officiel suivre l’événement

Sous la devise « Sauvez nos océans, protégez notre avenir », le Portugal accueille du 27 juin au 1er juillet le deuxième Conférence des Nations Unies sur les océans. L’événement rassemble grands leaders mondiauxles plus hauts représentants de entreprises et institutions et à la organisations de défense des océans à la recherche d’accords permettant de promouvoir une véritable culture océanique dans notre société, promouvoir l’économie bleue et souligner la relation étroite entre les mers et le changement climatique.