La Principauté et la Délégation du Gouvernement ont intensifié le dispositif de surveillance mis en place en raison de la mort de plusieurs spécimens d’oiseaux en danger d’extinction, après que les restes de trois gypaètes barbus et de deux vautours aient été localisés dans la zone dans la dernière semaine de la communauté du sud-est .
Afin de coordonner les actions, une réunion s’est tenue aujourd’hui au siège de la Délégation du Gouvernement entre le différents agents impliquésafin de s’attaquer conjointement à ce problème La commission technique a effectué un suivi de la stratégie nationale de lutte contre l’utilisation illégale d’appâts empoisonnés en milieu naturel.
La mort d’espèces classées comme menacées est un crime grave, passible d’amendes pouvant aller jusqu’à 200 000 euros et de peines de prison
Au cours de la dernière semaine, les membres de la pépinière d’environnement naturel, Seprona et le Fondation pour la conservation du gypaète barbu Plusieurs spécimens d’oiseaux en danger d’extinction ont été localisés morts, sur lesquels les nécropsies et analyses obligatoires sont en cours pour élucider les causes de mortalité.
Pour l’instant, des substances toxiques ont été détectées dans deux des gypaètes barbus retrouvés. Face à cette situation, les dispositifs de surveillance ont été renforcés dans des zones spécifiques, où battu avec des chiens spécialisés dans la détection de poison.
De plus, il a été activé Réseau Sentinelle des Poisons de la Principautédans laquelle le personnel de l’Institut commun de recherche sur la biodiversité du Conseil Supérieur des Recherches Scientifiques (CSIC). Le réseau gère surveiller l’activité des oiseaux de proie et des oiseaux nécrophagesgrâce à des appareils GPS, ce qui permet d’analyser avec une grande précision leur comportement et leur localisation.
Les autorités rappellent que la mort d’espèces classées comme menacées est caractérisée dans la législation comme un crime grave, avec des amendes allant de 3 001 à 200 000 euroset implique peines de prison.
Lors de la réunion qui s’est tenue ce matin, outre les représentants des deux administrations concernées, les responsables de la Pépinière du Milieu Naturel, les Service de protection de la nature de la Garde civile (SEPRONA), du CSIC-Université d’Oviedo, de la Fondation pour la conservation des gypaètes barbus, de Référencement/Birdlife et de Gréfa.
La Principauté et la Délégation du Gouvernement ont intensifié le dispositif de surveillance mis en place en raison de la mort de plusieurs spécimens d’oiseaux en danger d’extinction, après que les restes de trois gypaètes barbus et de deux vautours aient été localisés dans la zone dans la dernière semaine de la communauté du sud-est .